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Au palais du noir et blanc.
8 mai 2007

La porte de mon Caire.

Le jeu de la séduction entraîne ses protagonistes sur des pentes qu’ils ne contrôlent pas. Où se tient la limite entre le charme, le compliment, le trait d’humour et la fausse impression, le boniment, le déjà-vu. Faut il se livrer ou laisser planer la part de mystère ? Quand la timidité devient le royaume des occasions manquées. Se convaincre soi même que cela va marcher, malgré les chutes précédentes, malgré les mauvais auspices, malgré la distance et les différences. Tomber encore, se relever toujours, s’oublier dans les bras d’autres, se sentir vivant tout simplement...

tete_de_lion_copie

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Commentaires
I
La cle est-elle proteiforme?<br /> Est-ce qu'il faut regarder avec un caleidoscope pour la reconnaitre?<br /> ...Un detour devant cette porte, la contourner, la depasser, y repasser...sans jamais jouer du passe-partout...sans jamais la penetrer.
Au palais du noir et blanc.
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